Pour fêter ses 30 ans , Embrun n’a pas fait les choses à moitié : une semaine d’épreuves , du S au XXL ,du 12/8 au 15/8 en finissant par le mythique Embrunman .
Quand on arrive à Embrun, la banderole à l’entrée du village annonce la couleur :Embrunman le triathlon le plus durde France, d’Europe ,du Monde !!
Logé au bord du lac de Serre-Ponçon, entouré de magnifiques montagnes avec des cols mythiques pour les amateurs de vélo, Embrun est un site exceptionnel.
Nous voilà inscrits sur l’ épreuve du CD avec Delphine, Mickael, Remy ,notre épreuve ouvrira la semaine des compétitions. L’organisation est impressionnante, tout est vérifié licence, carte identité, émargement au retrait du dossard. Le petit sac contient le bonnet à son numéro !, les étiquettes nombreuses et résistantes pour le vélo, deux dossard, ainsi que la puce pour le chronométrage. Je dépose le vélo au garage avec contrôle du casque et du vélo, tatouage obligatoire sur le bras et le mollet, remise d’une petite caisse en plastique bien pratique ainsi qu’une gourde, rien n’est laissé au hasard.
Les emplacements sont là avec chacun son numéro, sa chaise et son emplacement pour le vélo.
Le briefing a lieu ensuite en plein air en indiquant les difficultés surtout pour le parcours vélo avec les virages dangereux à la descente. Nous sommes très nombreux 1000 inscrits.
L’ambiance est donnée, ici un village complet pour le plaisir des triathlètes, tous les gros fournisseurs sont là avec beaucoup de matériels, vélos accessoires. Si tu as oublié quelques choses, tu trouveras ton bonheur. La ville respire le triathlon, c’est dingue ! Beaucoup de famille pour encourager. Je croise Rémy qui a repéré le circuit vélo, très difficile avec une ascension qui se fait dès la sortie du parc pendant 13kms…
Nous nous retrouvons le soir avec François et sa famille pour partager un repas de pâtes oblige ! la pression monte c’est pour demain.
La nuit est bonne, le lac est tiède, tout est près, je retrouve Mickael et Delphine ainsi que Rémy au parc à vélo, on s’encourage tous et hop au départ. Il y a un monde fou, il est 8h00. Les filles partent 10 minutes avant les garçons, c’est la coutume à Embrun. Ensuite départ musclé, nous sommes 1000…cela bastonne un peu, normal, les 200 premiers mètres sont difficiles, ensuite la nage se calle et en route pour 1500 m.
La sortie se fait 32 min plus tard pour moi, je suis très content, les entrainements du jeudi matin avec Christophe portent leur fruit !! La transition se fait sans problème, en route pour le vélo qui ne sera pas une mince affaire. Il y a un monde fou, beaucoup de supporters, à chaque coin de rue, c’est incroyable. Dès la sortie du parc, on embraye avec le 34 devant et c’est parti pour 13 kms d’ascension sans arrêt. Je double déjà les premiers concurrents, les sorties vélos paient, je me sens bien , les paysages sont somptueux, la montagne est belle et le beau temps est au rendez-vous.
La pente ne se fait pas moins douce au contraire, par moment cela se durcit, pour finir sur une portion raide, je passe sans poser le pied, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, Rémy m’avait prévenu de ce passage difficile avec des gravillons. Chaque village passé c’est encore du monde sur le bord de la route, encore des applaudissements, le tri ici c’est une culture !
Descente vertigineuse vers le lac, la vue est à couper le souffle, le compteur s’affole à plus de 60 km/h. On passe le lac par le pont de savines , puis un grand faux plat montant, cela commence à tirer, on arrive vers Embrun, un dernier tournant, encore une montée, puis descente vers le parc à vélo. Les costauds de jeudi 15 passeront par ce même trajet pour se mettre en jambe avant d’attaquer l’Izoard….respect !
Transition, les jambes sont encore là, et en route pour la CAP au bord du lac ; Lors du briefing, ils annoncent que tout est plat, c’est faux le début est truffé de bosses qui cassent les jambes, puis nous voilà pour un aller retour, sur les rives de la Durance qui coule dans une eau cristalline, on se fraie un chemin, tous les supporters sont là et bien là. On entend la sono, l’arrivée est proche, voilà c’est bon c’est fait !
Quelle organisation, vraiment rien à redire, c’est un vrai plaisir de participer.
Nous finirons l’après midi au bord du lac, c’est une vraie messe de triathlète, on ne voit que cela ici ! une petite tête dans le lac pour détendre les muscles, voilà une très belle journée chargée d’émotions.
Le 15 aout , ce sont les gros costauds qui s’attaquent à la montagne qu’est l’Embrunman.
Nous donnons RDV à l’équipe François et Antonio en haut de l’Izoard pour le ravitaillement. Nous montons en famille à pied par Cervière pour atteindre l’Izoard .Après un départ à 6h de matin, c’est Romain que l’on croise à la descente vers 10h20 !!!, on l’encourage après l’avoir reconnu à sa tenue et son dossard, pas sûr qu’il nous ait entendu. Il est 11h30, François arrive on est tout excité, on le félicite et on l’encourage, il retrouve son sac de ravitaillement puis repart, quasi en même temps Stéphane puis Antonio qui est déjà un peu entamé. Puis enfin Claude courageuse arrive aussi au sommet de ce tri. La route sera encore longue avant l’arrivée.
Le col est une vraie fourmilière avec beaucoup de voitures qui suivent les athlètes, jusque 13h, des concurrents arrivent en haut. Nos amis ont déjà basculé, on attendra avec impatience et joie la nouvelle que tous ont fini. Bravo encore !!
Je ne peux qu’encourager les personnes qui envisagent de faire un très beau tri de venir à Embrun, pour les différents formats du S au XXL !
Quand on arrive à Embrun, la banderole à l’entrée du village annonce la couleur :Embrunman le triathlon le plus dur
Logé au bord du lac de Serre-Ponçon, entouré de magnifiques montagnes avec des cols mythiques pour les amateurs de vélo, Embrun est un site exceptionnel.
Nous voilà inscrits sur l’ épreuve du CD avec Delphine, Mickael, Remy ,notre épreuve ouvrira la semaine des compétitions. L’organisation est impressionnante, tout est vérifié licence, carte identité, émargement au retrait du dossard. Le petit sac contient le bonnet à son numéro !, les étiquettes nombreuses et résistantes pour le vélo, deux dossard, ainsi que la puce pour le chronométrage. Je dépose le vélo au garage avec contrôle du casque et du vélo, tatouage obligatoire sur le bras et le mollet, remise d’une petite caisse en plastique bien pratique ainsi qu’une gourde, rien n’est laissé au hasard.
Les emplacements sont là avec chacun son numéro, sa chaise et son emplacement pour le vélo.
Le briefing a lieu ensuite en plein air en indiquant les difficultés surtout pour le parcours vélo avec les virages dangereux à la descente. Nous sommes très nombreux 1000 inscrits.
L’ambiance est donnée, ici un village complet pour le plaisir des triathlètes, tous les gros fournisseurs sont là avec beaucoup de matériels, vélos accessoires. Si tu as oublié quelques choses, tu trouveras ton bonheur. La ville respire le triathlon, c’est dingue ! Beaucoup de famille pour encourager. Je croise Rémy qui a repéré le circuit vélo, très difficile avec une ascension qui se fait dès la sortie du parc pendant 13kms…
Nous nous retrouvons le soir avec François et sa famille pour partager un repas de pâtes oblige ! la pression monte c’est pour demain.
La nuit est bonne, le lac est tiède, tout est près, je retrouve Mickael et Delphine ainsi que Rémy au parc à vélo, on s’encourage tous et hop au départ. Il y a un monde fou, il est 8h00. Les filles partent 10 minutes avant les garçons, c’est la coutume à Embrun. Ensuite départ musclé, nous sommes 1000…cela bastonne un peu, normal, les 200 premiers mètres sont difficiles, ensuite la nage se calle et en route pour 1500 m.
La sortie se fait 32 min plus tard pour moi, je suis très content, les entrainements du jeudi matin avec Christophe portent leur fruit !! La transition se fait sans problème, en route pour le vélo qui ne sera pas une mince affaire. Il y a un monde fou, beaucoup de supporters, à chaque coin de rue, c’est incroyable. Dès la sortie du parc, on embraye avec le 34 devant et c’est parti pour 13 kms d’ascension sans arrêt. Je double déjà les premiers concurrents, les sorties vélos paient, je me sens bien , les paysages sont somptueux, la montagne est belle et le beau temps est au rendez-vous.
La pente ne se fait pas moins douce au contraire, par moment cela se durcit, pour finir sur une portion raide, je passe sans poser le pied, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, Rémy m’avait prévenu de ce passage difficile avec des gravillons. Chaque village passé c’est encore du monde sur le bord de la route, encore des applaudissements, le tri ici c’est une culture !
Descente vertigineuse vers le lac, la vue est à couper le souffle, le compteur s’affole à plus de 60 km/h. On passe le lac par le pont de savines , puis un grand faux plat montant, cela commence à tirer, on arrive vers Embrun, un dernier tournant, encore une montée, puis descente vers le parc à vélo. Les costauds de jeudi 15 passeront par ce même trajet pour se mettre en jambe avant d’attaquer l’Izoard….respect !
Transition, les jambes sont encore là, et en route pour la CAP au bord du lac ; Lors du briefing, ils annoncent que tout est plat, c’est faux le début est truffé de bosses qui cassent les jambes, puis nous voilà pour un aller retour, sur les rives de la Durance qui coule dans une eau cristalline, on se fraie un chemin, tous les supporters sont là et bien là. On entend la sono, l’arrivée est proche, voilà c’est bon c’est fait !
Quelle organisation, vraiment rien à redire, c’est un vrai plaisir de participer.
Nous finirons l’après midi au bord du lac, c’est une vraie messe de triathlète, on ne voit que cela ici ! une petite tête dans le lac pour détendre les muscles, voilà une très belle journée chargée d’émotions.
Le 15 aout , ce sont les gros costauds qui s’attaquent à la montagne qu’est l’Embrunman.
Nous donnons RDV à l’équipe François et Antonio en haut de l’Izoard pour le ravitaillement. Nous montons en famille à pied par Cervière pour atteindre l’Izoard .Après un départ à 6h de matin, c’est Romain que l’on croise à la descente vers 10h20 !!!, on l’encourage après l’avoir reconnu à sa tenue et son dossard, pas sûr qu’il nous ait entendu. Il est 11h30, François arrive on est tout excité, on le félicite et on l’encourage, il retrouve son sac de ravitaillement puis repart, quasi en même temps Stéphane puis Antonio qui est déjà un peu entamé. Puis enfin Claude courageuse arrive aussi au sommet de ce tri. La route sera encore longue avant l’arrivée.
Le col est une vraie fourmilière avec beaucoup de voitures qui suivent les athlètes, jusque 13h, des concurrents arrivent en haut. Nos amis ont déjà basculé, on attendra avec impatience et joie la nouvelle que tous ont fini. Bravo encore !!
Je ne peux qu’encourager les personnes qui envisagent de faire un très beau tri de venir à Embrun, pour les différents formats du S au XXL !
